Matinée sombre

Azélanne avait passer la nuit dans le parc, et était maintenan trempée de rosé. La jeune fille se releva du banc ou elle avait dormit et pesta contre le fait qu'elle soit toute mouiller. Le problème avec le parc, c'était qu'au matin, on subissait les intempéries.

- Maudite nature!

Mais la jeune fille n'était bien sure pas très sérieuse, car le calme de son parc était mille fois mieux que le bruit de son quartier de résidence.

nathaniel était perché dans un arbre toute la nuit, à la regarder dormir.
*c'qu'elle est mimi...arg ! faut qu'j'arréte de pensser des truc comme ça ! 'reusement qu'elle m'entend pas.*
il n'était pas mouiller, car les feuille avait fait parapluie. il rigola en l'entendant pester contre la rosée ( trés discret ce voleur ).il se figea, pensant qu'elle l'avait entendu. ce n'était pas souvent qu'il faisait de telle erreur. elle le troublait vraiment. il reta immobile.

En essayant de se sécher, Azélanne leva la tête en entendant un bruit et demanda :

- Qui va la?

Mais elle était presque sure que c'était le garçon du soir d'avant. Il ne lui avait pas dit son nom, mais elle ne s'en souciait pas vraiment. Azélanne en avait vue d'autres, car dès qu'on était jolie dans son quartier, une troupe de prétendant s'offrait a vous. Elle n'avais jamais vraiment aimer quelqu'un, peu être car elle était de nature trop solitaire et que peu de gens lui parlait vraiment.

nathaniel s'acroche a la branche par les genoux et se laisse pendre.
- tiens, je suis repéré. belle matiné non ?
sans attendre la réponse, il commence a ce balancer et a siffloter.

Azélanne sursauta et répondit :

- Si on peu dire, même si elle ressemble a toute les autres matinées de tout les autres jours.

Elle l'observa et dit :

- Tu ne ma pas dit ton nom hier soir, il parait que c'est une injure grave de ne pas dire son nom quand on demande celui d'une jeune fille...

nathaniel sourit, tout en continuant a se balancer.
- mille excuse, jeune damoiselle. je me nomme Nathaniel, chef des voleur des bas quartier de cette cité.
il laisse tomber le "beau langage."
- et toi, pricesse, tu fait quoi dans la vie ?

Azélanne le regarda d'un aire très, mais très légèrement méprisant, puis répondit :

- J'ai jamais dit que sa m'importait, et puis dans la vie, j'ai rien a faire. À quoi bon vivre dans un endroit toujours éclairer et bruyant quand on aime le calme? Et puis, je ne suis pas un princesse, je ne veux pas être une princesse.

nathaniel continu a sourir.
- pas d'pot, princesse, je trouve que ça te vas bien. surtout quand tu me regarde comme ça.
*en plus, tu ne marche pas, princesse, tu cours. c'est marant de te faire sortir de tes gond. pendant combien de temps vas tu tenir ?*
il recommence, toujours la tête en bas, a siffloter un air horripillant.

Azélanne sentie ses joues s'empourprer et le regarda d'un air un peu moins accommodant. Elle répondit d'une voix un peu frustré :

- Va courtisé une fille de riche, c'est elles qui aiment qu'on leur parle comme ça. Tu sais, si je viens ici, c'est pour fuir cette vie de fête, pas pour qu'on me traitre en princesse des rues.

Elle descendit du banc et s'éloigna a pas lents.

nathaniel avait réussit a l'énervée, mais, bizarrement, ça ne lui faisait pas si plaisir que ça.
- eh attend !
il descendit de son arbre et se poste devant elle.
- pardon, mais je ne te courtise pas, j'essayai de te faire sortir de tes gonds, et j'ai réussi.
il se pousse et lui laisse le passage.
- maintenant, tu peut partir si tu veut, mais j'avait une proposition a te faire.
il attend.
- et puis, franchement, tu me vois avec une bourge, toi ?

Azélanne s'arrêta, la mine renfrogné et répondit :

- Si tu est comme tout les autres, je te vois parfaitement avec une bourge, comme tu dit!

Elle lui fit dos et dit a voix plus basse :

- Je ne suis pas disposé à quitté mon parc, et si tu a quelque chose de trop important a me demander, sache que tu devra peu être partir.

nathaniel soupire.
- ok, ok, je m'en vais...
il la regarde, un peu triste. il n'avait pas voulu lui faire l'effet de lui courir aprés.il commence a partir.
- et, tu sais, je supporterait pas de faire la cour a une richou qui se comporte comme tel pendant que les autre, ceux de la bande, des gamins, créve la dalle.

Azélanne, un peu gêner de l'avoir blesser, lui dit a la va vite :

- Reste si tu veux, c'est jusque que je me méfie des courtisans, à la longue.

Elle sourit, le sang lui montant au joue, se qui colora sa peau de violet et lui donna un aire plutôt étrange.

- T'es calme au moins, pas le genre a provoquer un badeau en duel pour mes beau yeux. C'est fou, on dirait qu'a leurs yeux il n'y a presque pas de jeunes filles dans cette ville...

nathaniel sourit.
- je peut rester ? coooooool !
il regarde sa montre.
- arg, manque de temps.
il la regarde dans les yeux.
- je reviens a ma propositons ?

Azélanne le jugea du regard et répondit :

- Si tu veux.

Puis elle s'asit au sol. Sa robe était déjà tremper de toute façons, et elle n'était pas du genre a geler de froid.

- et bien, j'ai crus comprendre que tu ne mourrai pas d'envie de rentrer chez toi, alors peut-être, si tu as un talent, tu pourai devenir voleuse avec nous.
il attendit sa réponce.
*s'il te plait..............on arriveras pas a joindre les 2 bouts sinon.......on a besoin de monde.......dit oui.........*

- Et bien...

Azélanne réfléchit et dit :

- Je n'ai jamais volée de ma vie, mais je pourrait peu être aider. Il n'y a pas que le vol qui aiderait les tien a survivre, non?

nathaniel soupira avec un grand sourir. un poid imaginaire disparu de ses épaules.
- non, bien sur ! et puis, tout s'apprend. tu as un pouvoir ?

Azélanne réfléchit et répondit :

- Pas a ce que je sache, enfin, rien d'exceptionnel. Si j'ai des talents cacher, je dois encore les découvrir...

Azélanne réfléchit, et répondit :

- D'accord. Ou allons nous?

- dans les bas quartiers........

( on continues la-bas. )

Azélanne approuva d'un signe de tête et le suivit.

(Tu fait le poste?)

( je le fais bientôt.)

OK.